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Un roman décapant


Quinze enfants handicapés ont disparu. Le bus scolaire qui devait les amener à l’école maternelle spécialisée de la ville de Eugene, en Oregon, n’est jamais arrivé. Pour Liette Grimaldi, violoniste de talent, une attente épouvantable commence. Jo Ann, sa petite fille autiste de trois ans, fait partie des enfants enlevés. Tandis que toutes les forces de police du territoire sont mobilisées pour traquer le bus, l’agent Gilligan du FBI est chargé de l’enquête auprès des parents.
Un premier petit corps est retrouvé dans la forêt. C’est alors qu’on apprend que le chauffeur du bus n’en est pas à son coup d’essai. D’autres enfants ont disparu dans son entourage…

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Un style vivant, des personnages intrigants, une histoire haletante parsemée de touches drôles qui relâchent la tension, le tout sur un sujet d'actualité: l'autisme.

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Un récit glaçant

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​​Dans cette petite suite du Chant mortel du violon, l'auteur démontre avec une plume puissante, la lente montée vers la psychopathie d'un futur tueur en série.

 

Les O’Brien sont des gens normaux, attentionnés. Ils désirent le mieux pour leur enfant, ont longuement réfléchi à l’éducation idéale. Comme beaucoup de parents aimants, ils cherchent à ce que leur fils ait une bonne estime de lui. Ils l'habillent bien malgré leurs petits moyens, veillent à le nourrir sainement, lui offrent un environnement riche.

Alors, que s’est-il passé ? Comment Adrien est-il devenu caractériel, puis délinquant avant d'inscrire son nom parmi les plus dangereux prédateurs des Etats-Unis? Rien qu’un cumul d’erreurs, un brin d’égocentrisme et un soupçon d’immaturité. Mais le mélange est ici aggravé par le procédé retors de rendre les autres responsables de leurs problèmes, tout en excusant leurs propres fautes. Lâcheté fatale qui empêche de réfléchir sur ses ratés et de rectifier le tir.

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